mercredi 30 juin 2010

Les belles au balcon

photo Agnès Balaÿ

 Quand l'après-midi penche vers le soir,
 la chaleur devient douce,
Les belles aux balcon
Viennent respirer le parfum des glycines 
Avant de se préparer pour le bal ,
Dehors ,sur la pelouse , entre les bosquets,
Des silhouettes apprêtent de longues tables
Drapées de nappes blanches,
Les fauteuils dispersés sous les feuillages 
Invitent à la lecture de romans d'autrefois,
Choisis dans la bibliothèque du salon aux volets demi-fermés.
Enfiler une robe de toile fine ,
Lisser les longs cheveux,
Les jeunes filles en fleur 
Se préparent à danser 
Tout l'été..

lundi 28 juin 2010

La caresse du papillon

Image trouvée sur google

Le temps est en suspension quand survient l'insolite :
De passage , dans l'après-midi de Samedi chez des amis ,
Assis dans des chaise longues adaptées à l'heure,
au climat , à l'humeur générale ..
Nous sirotons une eau fraiche ,
lorsque, avec insistance ,
Un tout petit papillon bleu 
s'en vient tourbillonner autour de moi,
Pour finalement se poser sur mon poignet  :
Je retiens bien sur, respiration et mouvement brusque ,
J'admire les ailes fragiles , d'une couleur pâle ,
semblable à celle des fleurs de lin ,
Un frémissement, il s'envole ,
Exécute quelques arabesques
Sans pour autant s'éloigner,
Et vient cette fois atterrir sur l'extrémité de l'un de mes doigts ..
Quel émerveillement!
Trois fois , il répète son manège !
J' ai fini par tendre une main aux doigts offerts ,
Pour faciliter ainsi son numéro de voltige.
A la dernière "pose"
Il opère une rotation sur lui-même du plus gracieux effet.
Les spectateurs sont sous le charme de cette scène digne d'un conte bucolique ...
Enfin , le léger coléoptère prend son envol pour la campagne bruissante d'autres insectes.
Deux jours ont passé 
Mais je suis encore pleine de ce moment de pure poésie..
La nature nous offre quelquefois de ces cadeaux!

dimanche 27 juin 2010

Un été en arrière ...


Avec l'été qui s'installe ,
Celui de l'année dernière me renvoie
Aux jours passés  dans une ville magnifique,
En Autriche
Près de Salzbourg..
Les fous-rires , la jubilation,
La sensation rare de vivre des moments hors normes ,
Les frissons,
Le partage..
 Quelle aventure magnifique  ...
Arrivée à un âge où , pour beaucoup est venu le temps de se "poser",
D'être conforme ( à quoi, d'ailleurs?? )
Je suis encore interloquée d'avoir la chance de participer à de pareilles équipées!
Merci 
"Les Bons Enfants"
Et la famille Cacahuète!!
A bientôt pour le 11 Juillet 
( en France cette fois !)

samedi 26 juin 2010

Chat au vert


Sortir seulement maintenant..
 Avant ,Trop chaud..
Les bestioles dans l'herbe.
Piquent même à travers la pelisse




 Profiter de l'Été enfin là 
Les humains au diapason des chats
Sieste commune
Sous les ombrages....
Et dîners frais 
Dans la tiédeur du soir..
Flotter
Et 
Ronronner :
Le 
Pied !

vendredi 25 juin 2010

Regard


Pleine lune
Lune bleue
Les chats seigneurs de la nuit
Ont des yeux lucioles
Pour voir l'invisible.
    

jeudi 24 juin 2010

Les herbes géantes



 Une nuit , j'ai changé de taille
minuscule
microbe
petites pattes innombrables
Crissements d'ailes frottées,

La forêt impénétrable
Bruissements 
Feuilles aiguisées
Ornières précipices  
Jungle
Vert hostile
Serpents 
Peut-être..
Finir gobée????!!!!
 Mais fourmi amie
Disparaitre
      Cité cachée   
    Sauvée!!! 
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Manège d'enfance





Livre retrouvé dans les étagères mon enfance,
quelques pages pour prendre le train du bonheur des vacances..
Bon voyage!!

 
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mardi 22 juin 2010

lundi 21 juin 2010

Que vienne l'heure chaude


 photo retouchée / agnès Balaÿ




 Laisser choir  
Le froid 
Au creuset 
De solaires effusions,
Les roches rugueuses chauffées à blanc
Irradient de chaleur vibrante
La main effleure 
le volcan 
Orange 
Safran
Brûlant vermillon,
Corps nonchalant
Regard ébloui ,
Mordre le fruit de l'été
Je veux le feu
.
  
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dimanche 20 juin 2010

ÉPILOGUE


 monotype à l'huile et pastels




 Instrumental
puis

Tutti n° 30
 Parlé , les 7 :
SE TAIRE , SE TAIRE ...

Chanté:
QUE PEUT ON DIRE ?
MIRACLE APRÈS  MIRACLE ,
LE MONDE ..



  FIN

Mai 1997

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CHANT 7 : Athéna , déesse, protectrice d'Ulysse .


 monotype à l'huile et pastels

Instrumental +
 La 7è:
La déesse aux yeux pers avait pris ses traits de grande et belle femme , artiste en beaux ouvrages. En face de la porte , debout, elle apparut, mais aux seuls yeux d'Ulysse .

Une autre voix: 
Le touchant de sa baguette d'or , Athéna lui remit d'abord sur sa poitrine sa robe et son écharpe tout fraichement lavés , puis lui rendit sa belle allure et sa jeunesse.

Instrumental seul

+ La 7è: 
Mais ,suivant son dessein, la déesse aux yeux pers versait un doux sommeil à la fille d'Icare.
Cependant qu'en son siège Pénélope dormait, les membres détendus , la tête renversée , cette toute divine l'ornait de tous ses dons immortels. 

Chanté :
La 5è:
Quand le sommeil te prend au milieu des soucis et t'emmène hors du Temps..

La 1ère :
Et que la perte , l'absence et la mort paraissent des songes..

La 7è:
Comme si jamais personne n'était venu, n'était parti, un éternel instant d'oubli et de sérénité .

La 3è: 
Plume légère comme du jasmin , tu te penches , et tu la ramasses .

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samedi 19 juin 2010

CHANT 6 : Calypso , nymphe,amante d'Ulysse


monotype à l'huile et pastels


 Les 7 (parlé) :
Une nymphe auguste le retenait captif au creux de ses cavernes , qui brûlait , cette toute divine, de l'avoir pour époux .

Une voix:
" Vous m'enviez , O Dieux ! la présence d'un homme, alors  que ce mortel, c'est moi qui l'ai sauvé ! Abandonné de tous, il flottait sur sa quille !
+ instrumental

De son éclair livide, Zeus avait foudroyé et fendu son croiseur en pleine mer vineuse .
Quand le houle et le vent sur ces bords le jetèrent, c'est moi qui l'accueillis , le nourris, lui promis de le rendre immortel et jeune à jamais .

Chanté ( 1 voix) :
Tu regardes en arrière si quelque trace d'azur ne te trahirait pas , tu regardes par terre si quelque plume tombée  de tes ailes ne te démasquerait pas ... Assez souvent , une plume tombe , légère comme l'écume de la mer , légère comme la neige tiède .

Reprise instrumental
+
Parlé , 1 voix:
De son berceau de brume , à peine était sortie l'Aurore aux doigts de rose qu' Ulysse revêtait la robe et le manteau .
La nymphe se drapa d'un grand linon neigeux à la grâce légère.   
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vendredi 18 juin 2010

CHANT 5 : Nausicaa , fille d'Alkinoos


 monotype à l'huile et pastels


La 6è:
Et la feuille de ton cœur tremble  là-haut, unique feuille du monde

Une voix:
Nausicaa aux beaux bras blancs menait le chœur .
Sans peine on la distingue entre tant de beautés.

Chanté:
et tu crains qu'on ne te voie là-haut, juchée comme un oiseau étrange. Tu vois le ciel rond, profond et vert, tu vois tout, tu ne vois rien , rien qu'un azur nu,
Chuchoté
Et bourdonnant de silence ..SSSSSSSSS.....

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CHANT 4 : Pénélope, femme d'Ulysse


 monotype à l'huile et pastels


La 2è: 
Mais parfois , tu ne peux plus supporter le silence avec son poids et sa légèreté, alors tu te mets à faire quelque chose, rien d'important..

La 1ère : 
Par exemple broder une toute petite fleur sur le satin jauni . Alors nos filles et nos petites filles se penchent sur notre fleurette . Elles 
 vantent notre habileté, nous appellent mains de fées..

Chanté: 
Elle avait au manoir dressé son grand métier, et feignait d'y tisser un immense linon, sur cette immense toile elle passait les jours, la nuit elle venait aux torches la défaire, trois années son secret dupa les Achéens..

La 6è:
Mais à une heure nue, aveugle et vide,

La 7è:
Quand les branches semblent des épées,

La 2è:
Alors tu montes jusqu'en haut de l'échelle sans savoir pourquoi, comme pour cueillir du vent et des nuages.

 
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jeudi 17 juin 2010

CHANT 3 : Circé la magicienne


monotype à l'huile + pastels
 
 1 voix: Circé ,fille du Soleil chantait à belle voix et tissait au métier une toile divine, un de ces  éclatants et fins ouvrages dont la grâce trahit la main d'une déesse.

1 autre voix: La déesse aux belles boucles m'installe en un fauteuil aux clous d'argent et dans la coupe d'or dont je vais me servir, elle fait son mélange , elle me tend la coupe : d'un seul trait, je bois tout.

Chanté:  Comme lorsqu'un souvenir apparait , et que les autres, surgis derrière lui d'un pas léger te prennent par la main , t'entrainent hors de la maison , hors du temps..

La 6è: Comme un silence en suit un autre , tu te tais une fois, deux fois , tu avales ta langue , les mots se perdent , inutiles , la quiétude grandit.

                         
           La 3è : L'heure est passée de la colère
                         
La 6è : L'heure de la confession

La 4è : L'heure de l'explication
  ( en accumulation , superposition , mise en boucle, tempi autonomes pour chacune durant 1 mn ) 
 
La 2è: L'heure du Désir .
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CHANT 2 : Euriclée, nourrice d'Ulysse


monotype à l'huile et pastels

 La 4è: Seul l'échange est un pont où la vie passe en agitant au vent sa robe bariolée
Comme un drapeau aux cinq vents
Qui gonflent les voiles des navires et voguent les voiliers -ça et là- comme au quinze Aout au pèlerinage de Tinos .

Une voix: Allons, vite, à l'ouvrage, qu'on balaie le logis!
qu'on l'arrose et qu'on mette sur les fauteuils ouvrés la pourpre des tapis, que d'autres, à l'éponge, essuient toutes les tables, puis nettoient les cratères et dans leur double fond les coupes de métal.

Une autre : Mais vous, à la fontaine, allez chercher de l'eau , et rentrez au plus vite ! Nos prétendants ne vont plus tarder à venir : ils seront là de bon matin , c'est la fête en ville !

 Je ne transcris ici que des passages du texte utilisé, fragments entremêlés de l'Odyssée et des Vieilles femmes et la mer,
faisant abstraction de toutes les indictions musicales , partitions éventuelles etc..
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mercredi 16 juin 2010

Intermède sulfureux























                                                                                                                                                            
 Pivoine fanée
Transfigurée.






CHANT 1 : Anticlée , mère d'Ulysse

Anticlée, mère d'Ulysse

Instrumental
 +
Parlé, 1 voix:
"Fille du fier Autolycos, si je suis morte,ce n'est pas de langueur, ce n'est pas le tourment de quelque maladie qui me fit rendre l'âme.
C'est le regret de toi, c'est le souci de toi, O mon noble Ulysse, mon fils, c'est ta tendresse même qui m'arracha la vie à goût de miel.
Quand la mort nous prend, voici la loi :
Les nerfs ne tiennent plus, ni la chair , ni les os.
Tout cède à l'énergie de la brûlante flamme.
Dès que l'âme a quitté les ossements blanchis,
l'ombre prend sa volée et s'enfuit comme un songe.

Chanté:
La 3è: A quoi bon, pour qui? comment ?
La 5è : Nos filles, nos petites filles et leurs filles, ont tout appris et tout laissé....
Chuchoté:
La 7è: Elles nous ont appris d'autres choses que nous ne savions pas , nous autres.
La 5è: Nouveaux plats, nouvelles habitudes ,nouvelles robes et broderies..
La 1ère: Ignorantes et dédaigneuses, les malheureuses , elles croient commencer le monde, oui, elles ne voient pas la continuité du monde.

Chanté: 
Et quand tu ne sais pas ce que tu es , même si tu as tout,
tu ne sers à rien , tu es seule.


 

mardi 15 juin 2010

LES 7 FEMMES D'ULYSSE


monotype à l'huile + pastels /Mottelet /1997


Les pages qui vont suivre veulent rendre compte d'une ébauche de spectacle musical , mise en œuvre au cours de mes études musicales au CFMI d'Aix en Provence, dans le cadre d'une réalisation personnelle de fin de cursus.
Ce fut pour moi une expérience exaltante de tenter le rapprochement RITSOS/ HOMERE ,dans le creuset de cette mythologie poétique , 
et de faire fusionner dans une même énergie ,mon double "moi"
à la fois peintre et musicienne .
Vous ne verrez ici , que les monotypes illustrant le livret .
A travers ce témoignage visuel , je veux rendre ici hommage à YVONNE QUINZII, artiste et pédagogue , personnalité hors du commun, aujourd'hui disparue  , dont la flamme a animé ces années de formation .
Elle a su être une passeuse de rêve et de beauté ,
Je lui redis ma profonde affection.
juin 2010

////////:

Préambule:
Le point de départ de cette recherche poétique, musicale et plastique, est l'œuvre de Yannis Ritsos  "Les vieilles femmes et la mer" support de notre atelier de théâtre musical . J'ai choisi de rapprocher ce texte de celui de l'ODYSSEE .

Le passage choisi dans "les vieilles femmes et la mer" est situé exactement au centre du texte ,c'est l'espace sans "tutti" , le fond de cette structure en forme de bateau où fusionnent passé et présent,mémoire et oubli.
C'est à ce carrefour des routes maritimes et symboliques que se confondent en une rencontre imaginaire, les sept vieilles de Ritsos et les sept femmes d'Ulysse:
Ces femmes sans âge, entités, mères ou amantes, charnelles et insaisissables , ne sont-elles pas les vestales de l'âme grecque , qui, depuis l'Antiquité , abolit le Temps?
Les mythes sont toujours vivants grâce à Ritsos dont l'écriture poétique rejoint celle d'Homère .
                                                                                                                                       A Mottelet  Mai 1997

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lundi 14 juin 2010

Yannis Ritsos : Les vieille femmes et la mer .


Vieux port dans une île. Non loin, quelques voiliers,et des barques de pêche au radoub. Début de l'automne . Hier ,il a plu . Ce soir , il fait beau de nouveau. Torches rouges derrière les nuages : un coucher de soleil grec .
Un voilier sombre passe en silence dans la rivière rose que le soleil couchant trace sur la mer. Une petite fille portant un seau d'eau s'est arrêtée sur le seuil avant d'entrer dans la maison . L'eau du seau est rose et dorée , comme si elle avait pêché le soleil dans la mer. Les fenêtres du rivage scintillent . En haut , sur la route ,passent des charrettes chargées des légumes d'automne, et les derniers cageots de raisin.
Les lampes à acétylène viennent de s'allumer dans les tavernes de marins ; l'intérieur des tavernes semble étrangement calme-- volume de silence pistache,profondément creusé dans le temps . Sept vieilles, mères et grand-mères de marins sont assises sur le seuil, devant leurs portes , et parlent entre elles. Entre les mots qu'elles échangent, on entend la respiration profonde de la mer et plus loin les éoliennes rouillées qui tournent lentement, dans les jardins, parmi les petits citronniers noueux et les eucalyptus géants.
Le crépuscule s'attarde, comme si jamais la nuit n'allait venir.
On entend les vieilles:
Toutes ensemble:
(doucement , simplement, d'une voix lasse et lointaine)

Dès que tombe le crépuscule, nous sortons nous assoir ici, sur la pierre du seuil, sur les rochers pour que nous batte le vent du large et qu'il nous vide de notre vide.
Nous reposer de ne plus rien faire, oublier, nous les oubliées , faites d'oubli, comme si tout s'en était allé, et que nous soyons restées seules
sur une aire haute et large où le vent souffle de tous côtés -  

Fête du Poufre , plus de détails




Communiqué de Presse- Fête du Poufre

TOTAL FESTUM à SETE - Tous à la Fête du Poufre”

Populaire, occitane, festive, déroutante, traditionnelle, musicale, rituelle, pétaradante ainsi s'annonce la première Fête du Poufre sétoise lancé par le Lieu Noir et Cacahuete ce vendredi 18 juin à partir de 21 h00 sur le Parking du mas Coulet (face resto Péniche).

Après les Fêtes des Soupes, la Fête de la Merde, Festivités de Rue, Les Effervescentes de Balaruc le Lieu Noir organise la première “Fête du Poufre”

Ce premier rendez-vous est incontournable avec un programme exceptionnel
Avec autour du Poufre Géant les groupes Mauresca Fracas Dub pour la fin de soirée Ragga, Biscam Pas et Souffleurs de Rêves pour le baleti trad occitan , la compagnie les Bons Enfants pour les danses rituelles et les rondas, Max Horde performera comme un Poufre, Joanda nous contera "la Légenda del Pofre Solehl", Claude Delsol vous fera découvrir la constellation du poulpe et Jean Marie de la Pointe courte racontera des histoires à poufrer de rire.
Maitre Dassé nous régalera avec ses tielles poufresques, l'association Bona Jornada vous fera déguster une salade de Poufre inégalée sur l'Ile Singulière tandis que le SAS vous abreuvera de divin nectar comme le Picpoulpe frais et son nuage d'encre.

A 21 h30 pétante Le Poufre géant sera acheminé sur le quai Paul Riquet par la barque "le Poufre" et les rameurs de Cétarames il sera accueillie par des femmes-poufre officiantes danseuses d'un rituel ancien réssucité , porté par le public sur son lieu de crémation l’animal sera jugé comme il le mérite et brulé comme il se doit.
Un Grand Carnaval thématique et totémique va naitre à Sete.
Les Festivités pourront dès lors débuter et s'achever tard dans la nuit, les adeptes les plus fervents pourront comme c'est la coutume prendre un poufre, participer au grand concours de lancer de Poufres ou faire démonstration de danse octopussienne.

Le tout orchestré sous la baguette de la Compagnie Cacahuete.

Le public est convié chaleureusement à participer en se grimant, se costumant à la mode "Poufre" bien évidemment ou apporter une oeuvre Poufre, les autres seront les bienvenus également.

Une manifestation pour tous les sétois petits et grands .

Le texte intégral de “La Légende du Poufre Solehl” en francais et en occitan est consultable sur le site du Lieu Noir : http://www.lelieunoir.fr/les-fetes-du-poufre-soleil-la-legende

Renseignements le lieunoir.fr ou 0467535726

Avec le soutien de la Région Languedoc-Roussillon  initiateur de Total Festum et des Villes de Sète et Balaruc-les-Bains



intense



 ORANGE
 
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samedi 12 juin 2010

FETE DU POUFRE SOLEIL à SETE 18 JUIN PROCHAIN



Soirée à retenir sans faute si vous n'êtes pas trop loin de Sète,
ou avez envie d'insolite et de dépaysement pour ce week-end du solstice d'été  !!!
Évènement initié par Pascal Larderet , de la Compagnie Cacahuète,
qui m'a fait l'amitié d'utiliser l'un de mes dessins pour les documents ci-dessus..

petit film du week-end...









 sans paroles.
 
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